2021 jewels

 

 

 

 

 

A few jewels in 2021.

To remind during 2022.

 

 

 

 

 

 

le trio d'accordéons Polonais Motion Trio

"Vertigo" avec Joseph Nicolas Pancrace Royer & Jean Rondeau

la violoniste Kazakh Aisha Orazbayeva 

3 heures d'hommage à Ghédalia Tazartés par Samon Takahashi pour Epsilonia sur Radio Libertaire

la soprano Jeanine de Bique 

les talentueux pianistes Dominique Ponty et Frederic Rzewski

Mariachi: Nina Garcia et ses feedbacks, impacts, harmoniques, et fulgurances 

les éthiopiens Alèmayèhu Eshèté et Amha Eshete qui nous ont quittés cette année

l' Orchestre Régional De Sikasso ou comment la tradition parlait encore aux "Jeunes d'Afrique" dans les années 70s

l'inoubliable guinche de Juliette Gréco

 

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Le  grand désordre syntaxique de l'écrivain Portugais Antonio Lobo Antunes et son formidable roman "Le manuel des inquisiteurs" - à lire et relire - à voix haute et dans l'urgence: un flot poétique inouï, et un pan d'histoire du Portugal et sa révolution des oeillets.

  

 

Après des années d'oubli, les rééditions de la romancière avant-gardiste Héléne Bessette, admirée par Marguerite Duras, Raymond Queneau et Nathalie Sarraute (entre autres). A ne pas manquer! Notamment son roman "Ida ou le délire"

  
"Ida, Ida, cette femme morte, muette, obsédée, courbée, silencieuse, pressée, hâtive, soucieuse, préoccupée crie plus fort que tous les vivants... Ce qu'on ne comprends pas, la mort d'Ida"

 

 

 

 

L'essai de Mélanie Traversier  "L’harmonica de verre et miss Davies. Essai sur la mécanique du succès au siècle des Lumières", ou l'histoire de l'harmonica de verre, et de "comment se déroulait la vie musicale en Europe au XVIIIéme siècle".

 

 

 

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Quelques perles cinématographiques vues cette année passée, à ne pas manquer si l'occasion se présente:

 ”Freda” de Gessica Généus  (2020)

”Ne croyez surtout pas que je hurle” de Frank Beauvais  (2019)

”The end” (2011) & ”The sea is behind” (2014) du cinéaste marocain Hicham Lasri

le dernier opus de Hassen Ferhani  ”143 rue du désert”  (2019)

 

 

sans oublier les récents "Drunk" de Thomas Vinterberg, ”Compartiment N°6” de Juho Kuosmanen, ”Haut et fort / Casablanca beats” de Nabil Ayouch, ”The father” de Florian Zeller, "Le diable n'existe pas" du réalisateur Iranien Mohammad Rassoulof   

 

 

 

 

et les films anciens à voir et revoir toujours et encore: les formidables et singuliers  "Omar Gatlato" de Merzak Allouache (1977), "Le dossier 51" de Michel Deville (1978), le film culte  "Invasion" de Hugo Santiago (avec un scénario co-signé par Jorge Luis Borges et Adolfo Bioy Casares - 1969), "La chasse" un des premiers long-métrages de Carlos Saura (1966) et aussi "Nightwatching" de Peter Greenaway (autour du célèbre tableau "La ronde de nuit" de Rembrandt - 2007)

 

<O>RIP<O>

 

et une pensée pour celles et ceux qui ont accompagné d'une façon ou d'une autre nos vies et qui nous ont quitté cette année: le poète et libraire Lawrence Ferlinghetti, la chorégraphe Anna Halprin, Jon Hassell, R. Murray Schaeffer, le philosophe Jean-Luc Nancy, Lee Scratch Perry, le chef d'orchestre Bernard Haitink, Phil Spector et son mur du son, Frederic Rzewski, Louis Dandrel, Jean-Claude Carriére, Johnny Pacheco, Peter Rehberg, Alvin Lucier, sans oublier notre ami Ghédalia Tazartés, et quelques-uns des principaux acteurs de la musique éthiopienne ... 

 

 

 

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quelques  dérives  au loin 

                                 Pakistan               Kurdistan               Turquie                     Iran                          

   Maroc                                                     Mali                   

               Cuba                   Ethiopie                                          Inde  

        

!..2022..!--- best beyond before !!!

Innocent passage

 

 

 

 

Olivia Block is a media artist and composer. Currently, her practice includes live performance, recordings, audio-visual installations, sound design, and scores for orchestra and chamber music concerts.

 

 

 

 

Block’s solo career started in the 1990’s, in Austin, where she played in bands and started making solo tape music. Then she moved to Chicago, becoming one of few females in the field of experimental music and sound art from her generation. She has developed a body of scored and improvised performances for amplified breath, inside-piano, electronics, synth organ and various materials, including metal pieces and shards of broken glass. She has also developed site specific works for pipe organ, most recently at the Rockefeller Memorial Chapel in Chicago.

this concert with Olivia Block, Adam Sonderberg and Paige Alice Naylorin, in october 2021, is a live interpretation of the release "Innocent Passage in the Territorial Sea"

and another recent Block's live at "Instants Chavirés" (Paris- France) shot by Nilonilaz

& during quarantine in april 2020 : here 

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Magnets and marbles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 "Magnets and marbles" is an amazing project where little magnets that can be used to make cubes and others geometric figures: a Kaplamino’s Pitagora-style chain reactions.

Kaplamino is actually Mathieu Carillat, a 22-year-old engineering student based in Paris. When he’s not studying at The Leonardo da Vinci Engineering School (ESILV), he spends hours building and filming elaborate chain reactions on a tilted tabletop: Rube Goldberg machines that rely on marbles, magnets, and a bit of gravity to create some astounding little sequences.

D'autres dispositifs de Kaplamino HERE

We would have preferred that there were only the installation' sounds, without the music, but despite everything, it's fascinating ...

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Heiner Goebbels - Surrogate

 

 

 

A piece composed by Heiner Goebbels titled "Surrogate" (1994)

 

 

 

 

a trio version in 2014  for piano, percussion & voice with a text by Hugo Hamilton

Laura Mikkola, piano, Kazutaka Morita, percussion & Hannu-Pekka Björkman,voice

 

more about Heiner Goebbels

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Khorshid Dadbeh & setar

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Khorshid Dadbeh is a great Iranian Tanbour, Setar and Tar's player. She grew up in an artistic family and started at seven years old her musical journey playing Setar with her father. She uses to teach music.

More music to listen to HERE

 

 

& in trio with her father and a brother : Jansouz Ensemble

 

& ...

 

 

 

 

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Cartographie de Rythmes

 

"Cartographie de rythmes - Vitesses approchantes" est un étonnant duo composé de deux batteurs explorateurs de chemins rythmiques très personnels, une composition du compositeur français Karl Naegelen.

Pour Toma Gouband, ce chemin est semé de pierres, de végétaux et d'éléments de batterie plus traditionnels qui induisent un monde polyphoniques à la fois complexe et direct. Pour Sylvain Darrifourcq l'exploration instrumentale est nourrie par l'esthétique des machines et les questions de temporalité, d'espace et de rupture.

 

"Cartography of Rhythm - Approximating Speeds" is a startling duo comprised of two drummers following their own respective rhythmic paths, a piece by the french composer Karl Naegelen.  

Toma Gouband’s path is littered with stones, plants and traditional drum elements, all leading him into a complex and direct polyphonic world. Sylvain Darrifourcq’s instrumental exploration is rife with machine esthetics and questions on temporality, space and rupture.

 

Ces travaux sont publiés par le collectif Umlaut , et le CD "Cartographie des rythmes" est sorti le 22 novembre.

These works are published by the collective Umlaut and the CD "Cartographie des rythmes" is released just these days. 

 

  

 

 

I II III II I

Silhouettes

  

Justina Jaruševičiūtė is a Lithuanian composer based in Berlin. Back in September 2019, Justina Jaruševičiūtė attended an Echo Collective show at Funkhaus Berlin, where Jóhann Jóhannsson’s album 12 conversations with Thilo Heinzmann was being premiered. This concert, which she described as one of the most touching performances she had ever attended, was what inspired her to write music for string quartet.

A review by A closer listen

 

 

 

 

 

 

 

Let it go

 

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Sikasso, Kénédougou

La ville de Sikasso au Mali a été fondée au début du XIXe siècle par Mansa Daoula Traoré. Elle fut la capitale du royaume du Kénédougou. Une muraille défensive fut construite en 1890 par Tiéba Traoré, roi du Kénédougou, afin de protéger la ville contre les attaques de Samory Touré puis celles des troupes coloniales françaises. La muraille a été agrandie et renforcée par  Babemba Traoré qui lui succéde. En avril 1898, le colonel Audéoud prend prétexte du refus de Babemba Traoré, successeur de Tiéba Traoré, à l'établissement d'une garnison française pour attaquer la ville. Les trois enceintes de la muraille défensive n'ont pas résisté aux obus modernes et malgré les violentes contre-attaques des défenseurs, la ville est prise et mise à sac au terme de deux jours de siège, le 1er mai 1898. Babemba Traoré, préférant la mort à la honte, se suicide. Environ quatre mille captifs furent alors "déplacés" par l'armée française et cette déportation donna elle-même lieu à de nombreuses exactions.

 

 

 
 

Babemba Traoré et Tiéba Traoré. Sikasso (Mali), circa 1892. 

 

Derrière les personnages, les fameuses fortifications de Sikasso, battues en brèche par l’armée française en 1898. 

 

Avec l’aimable autorisation des Archives nationales de la République du Sénégal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En 1970, avec l'Orchestre Régional De Sikasso (devenu le Kéné-Star de Sikasso en 1976) dans le LP (de la formidable collection "Mali Kunkan")  "Les meilleurs souvenirs de la 1ere Biennale Artistique et culturelle de la Jeunesse " , écoutez un pan d'histoire de Sikasso et du Mali avec Baba Barry comme chef d'orchestre: "Récital"
... ou comment la tradition parlait encore aux "Jeunes d'Afrique" dans les années 70s. 
 

Une archive historique à écouter!
Ici la première partie du disque original dirigé par Baba Barry

avec

Vocals - Salif Touré, Abdoulaye Diabaté, Mamadou Diakité, Mamadou Touré, Cheick Sadibou Diabaté 

Guitar - Massambou Wélé Diallo, Madou "Guitare" Sangaré 

 

 

et deux autres extraits de la face B à écouter: "Mali Sènèkèlaw" & "Batuta Mori"

 

 

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Eclectic musical news

 

A few issues from these days and this past year...

from minimalism to psyche-fuzzy, fieldworks to story telling, film score and medieval ambiant.

 

 

 

REVOLVER New compositions by Kate Moore on Unsounds' dutch label

cool and unfurling melodies for violin (Anna McMichael), harp (Genevieve Huppert), cello  (Rowena MacNeish), dble bass (Kirsty McCahon) and percussion (Bob Scott) - october 2021

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ENVY by Triinu 

alternative psyche-fuzzy and dreaming songs with the Estonian singer Triinu Tammsalu (guitar & vocal), Juliette Sedes (Violin), Brent Olds (bass) and Justin Dagot & Emmanuel Demangeon (drums) - december 2020

 

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OCTOBER SOUNDS by Laura Cannell & Kate Ellis with Adrian Crowley, Milène Larsson & Chris Watson

incredible nocturnal forest recorded by Chris Watson, a new and specially written chilling New York based story from Adrian Crowley and a trio for a retelling of a Swedish folk tale - October 2021

 

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FOSCADH , a movie score by Sin Fang, the Icelandic musician and member of the band Seabear

the film’s plot: a man alone after the death of his overprotective parents, suddenly forced to navigate life on his own. movie' details & a music's review on a closer listen - december 2021

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SEN by the Slovak composer Adrián Demoč

using a medieval instrumentation (cornetto muto, viola da gamba, organ, gittern, plectrum lute and gothic harp), 3 peacefull pieces under the influence of Morton Feldman - november 2021

 

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DIDONE by Alessandro Bosetti

The new LP "Didone" is a work articulated around the voice(s), the reconfiguration and recombination of identities, where every specific sense of belonging melts into an indistinct swarming of possibilities - march 2021

With Giulia Zaniboni (voice), Dan Kinzelman (tenor sax, flute), Luca Perciballi (electric guitar and acoustic guitar), Glauco Salvo (electric guitar, banjo), Simone Sferruzza & Andrea Grillini (drums)

 

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Tellus cassette story

 

 

Obviously, the Tellus Cassette Audio Magazine publishers (visual artist and composer Joseph Nechvatal, curator Claudia Gould and composer Carol Parkinson) never considered running an underground publication, rather envisaging the cassette medium as an art form in itself. A quite unique point of view at a time (the 1980s) when many self released cassettes blossomed through mail order or trade between artists, and when the cassette milieu was promoting DIY technique, even anti-art as a motto. 

 

The famous Audio Cassette Magazine never indulged into amateurism, their releases always focused, well researched and aptly curated. From the start, the founding members deliberately aimed at raising the profile of their cassette releases, sending issues to US public libraries and museums, for instance. The Tellus team launched the Harvestworks Artist-In- Residence Program along the cassette series, to promote independent artists’ projects and provide them with a professional recording facility, named Studio PASS.

Annoncing Tellus Audio Cassette Magazine Party at Paradise Garage (1983) - by Joseph Nechvatal 

 

Nechvatal talks to Robert Barry about viral symphonies, cassette magazines, and art squats on The Quietus

& a link to listen the Tellus issues here on UbuWeb

 

 

Over the last half-century, Joseph Nechvatal’s Zelig-like career in the arts has taken him from working as La Monte Young’s archivist and squatting in Laurie Anderson’s building in Lower Manhattan to the Documenta festival in Kassel and the Lascaux Caves deep in the Dordogne. He’s worked with Jenny Holzer and Rhys Chatham, studied with Roy Ascott and Arthur Danto, and published his own work in almost every conceivable medium. In 1983, he founded Tellus, an audio magazine for the sonic arts, produced on cassette, and featuring, over its decade-long run, contributions from Sonic Youth, Glenn Branca, Wharton Tiers, Julius Eastman, Ellen Fullman, Christian Marclay, Woody Vasulka, Alison Knowles, and many, many more. In later years, he became a pioneer of virtual reality and artificial life, making work for concert halls, poetry imprints, and art galleries inspired by the likes of Antonin Artaud and Virginia Woolf.

 

 

pretend painful IOngO (with the voice of Marianne Faithfull) - by Joseph Nechvatal

 

 Nechvatal’ sélected sound works (1981 - 2021)

 

 

 

 

 

 

 

 

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Jazz et Tango

 

 Julio Cortázar a toujours entretenu un rapport intéressé et particulier avec la musique, et plus spécifiquement le jazz et, naturellement, le tango de son pays natal, l'Argentine. Ainsi dans les "Entretiens avec Omar Prego" en 1984, quelques semaines avant son décès.

cf. le formidable chef d'orchestre Juan d'Arienzo

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et, concernant le monde du jazz, quelques-uns des goûts de Julio Cortázar, 

dans le chapitre 17 de son roman "Marelle"  - "Rayuela" (1967)

  Quelques notes à propos de certaines références de musique jazz et classique, de tango, de leur interprètes et (ou) créateurs, recensées dans le roman "Marelle"

à télécharger ICI

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Un chien andalou

"Szenario"  est une pièce pour orchestre et bande magnétique 

composée par Mauricio Kagel en 1982.

Sur une commande de la Télévision Suisse DRS, "Szenario" est une adaptation musicale 

pour le film "Un chien andalou" de Luis Buñuel.

Ce film accompagné de la musique de Kagel fut montré à l'occasion 

du Festival d'Automne à Paris en 1983. (cf prog.)

 

 

"Szenario" is a piece for orchestra and tape composed by Mauricio Kagel in 1982. Commissioned by Swiss Television DRS, "Szenario" is a musical adaptation for the film "Un chien andalou" by Luis Buñuel. This movie, including the musical soundtrack of Kagel, was shown in the Festival d'Automne de Paris in 1983 (see program) 

 

dans le livre de ses écrits  "Parcours avec l'orchestre", Kagel parle de ce projet.

 

in his book "Parcours avec l'orchestre", Kagel evocate this project

 

Une autre version musicale de ce film est celle composée par le compositeur argentin Martin Matalon. On peut écouter cette oeuvre intitulée "Las siete vidas de un gato" (1996) et remarquablement interprétée par l'Ensemble Ictus dans le CD "De tiempo y de arena" publié en 2003. Il est vivement conseillé de synchroniser cette musique et le film de Bunuel.

 

Another musical version of that movie was composed by the Argentinian composer Martin Matalon. You can listen to this work entitled "Las siete vidas de un gato" (1996), emarkably interpreted by the Ensemble Ictus, in the CD "De tiempo y de arena" published in 2003. It is strongly advised to synchronize this music and the film by Bunuel. 

 

 

 

 

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