"ZERO, 999..." est conçu comme une suite musicale où le son et le temps se transmettent simultanément à différents ordres d'échelle : un seul coup de tambour est un bourdon ralenti mille fois, un bourdon d'une heure est un bref tic-tac dans l'horloge du temps géologique.
"ZERO, 999..." is conceived as a musical suite where sound and time are communicated simultaneously at different orders of scale, a single strike of a drum is a drone if slowed down one thousand times, an hour-long drone is a brief tick in the clock of geological time.
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"Songs for the Lost" sont composées par Ed Williams pendant une saison d'hiver à Bâle en Suisse où il étudie.
"Ces chansons reflètent des périodes de tourment personnel, exacerbées par les bouleversements du monde extérieur. C'est devenu un processus d'orientation au milieu de cette désorientation, en me tournant vers mes propres instruments, ma voix, mes pensées, tout en m'enracinant dans le terreau d'autres chansons du passé." Ed Williams
"Ces chansons reflètent des périodes de tourment personnel, exacerbées par les bouleversements du monde extérieur. C'est devenu un processus d'orientation au milieu de cette désorientation, en me tournant vers mes propres instruments, ma voix, mes pensées, tout en m'enracinant dans le terreau d'autres chansons du passé." Ed Williams
"Songs for the Lost" is a collection of short songs written by Ed Williams over the past year and recorded at the HSM Basel during occasional free winter nights when he was a student there. "They reflect times of personal turmoil exacerbated by the turmoil out in the world. It became a process of orienting myself within the disorientation by turning inwards to my own instruments, my voice, my thoughts, while rooting myself in the soil of other songs from the past." Ed Williams
& don't miss another post around Ed Williams' works
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Près de 2 siècles après que Robert Schumann ait composé ”Carnaval” (1835), voilà une relecture tout autant espiègle que l’original. Alessandro Bosetti a en effet (re)composé cette pièce qui présentait 21 chapitres tous associés à un masque de carnaval. Ici pour ”Carnaval 2”, tous les personnages ont été effacés, malgré le fait que le pianiste Reinier von Houdt en porte un pour son exécution chaque fois différent pour chacune des parties. La nouvelle musique naît de petits fragments prélevés dans la partition originale et prolifère d’elle-même, s’étend, flotte, roule ou voltige. La seule courtoisie du compositeur à l’égard de l’interprète est d’avoir créé entre chaque chapitre, des interludes électroacoustiques volontairement ennuyeux qu’il a appelés Paraventi (écrans) afin que l’interprète ait le temps de se retirer derrière eux pour changer de masque.
Nearly two centuries after Robert Schumann composed "Carnival" (1835), here is a reinterpretation that is just as mischievous as the original.Alessandro Bosetti (re)composed this piece, which contains 21 chapters, each associated with a carnival mask. Here, for ”Carnaval 2”, all the characters have been erased, despite the fact that pianist Reinier von Houdt wears a different one for each part. The new music is born from small fragments taken from the original score and proliferates on its own, expanding, floating, rolling, or fluttering. The only courtesy of the composer to the performer is to have created deliberately boring electroacoustic interludes between each chapter, which he called Paraventi (screens), so that the performer has time to retreat behind them to change masks.
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